Serez-vous remplacé par un robot ?

Au fil du temps, la place de la technologie dans l’emploi devient de plus en plus importante, permettant de s’adapter au marché du travail. Bien qu’en 15 ans, l’innovation technologique a permis de créer plus de 700 000 emplois en France, l’image qu’elle véhicule est bien différente, tout le monde connait la vision de l’industrie automobile où les chaînes de productions sont remplacées par des robots volant le travail des ouvriers.

Un autre exemple plus récent, on voit arriver des drones pour livrer des colis, même si l’état n’autorise pas encore le vol de ces engins, de grands groupes comme Amazon se penchent sur le sujet.

Le risque d’être remplacé par une machine est bien présent, principalement dans les métiers comportant des tâches répétitives aussi bien manuelles qu’intellectuelles.

Si l’on ne se contente que de robots autonomes, vous pouvez déjà croiser :

• Un robot vendeur humanoïde pouvant vous conseiller sur ce que vous désirez
• Un robot faisant les tâches ménagères (linge, vaisselle, mettre la table, …)
• Un robot Pompier capable de sauver des vies
• Un robot collecteur d’ordure
• Un robot sauveteur en mer
• Etc…

 

Faut-il se préparer dès maintenant à la robotisation ?

Si vous êtes victime de robophobie (peur des robots) dans votre travail, vous pouvez toujours vérifier si vous allez être remplacé ou non !  Le site Planet Money propose un moteur de recherche indiquant vos chances ou non d’être remplacé. Plus le résultat est proche de 100% et plus la possibilité qu’une machine fasse votre métier dans les 20 prochaines années est grande.

Tester votre métier

 

Doit-on vraiment s’inquiéter ?

Depuis  toujours, l’homme a su s’adapter aux avancées technologiques. Plus que des métiers, se sont principalement des tâches qui seront automatisées,  ce qui laissera plus de place pour d’autres missions qui n’existent certainement pas encore ! Si l’on prend l’exemple des ressources humaines, les ATS comme Softy permettent d’aider le recruteur dans des tâches basiques sans pour autant lui enlever son pouvoir de décision. Les aspects créatifs, d’analyse ou de relationnel ont donc encore de beaux jours devant eux.